lunedì, febbraio 27, 2006

sem meu capote, não fico nu

Tout ce qu’j’ai à dire de ce russe, après mes lectures, est: quelle mauviette! Je sais que y a des moments en vie où on ne peut rien en trouver – des choses qui nous aide à arrêter et vraiment fait attention à tout ce que se passe. D’abbord, j’ai cru que un des trois était mort, dû aux toujours dites merdes – c’était un équivoque, bien entendu. Maintenant, l'intense désir d'écrire, et de lire n'importe quoi , m'a touché. Malgré des commentaires qui peut encore m'ennuyer, j'suis sûr de certaines valoires...

Hm... dito, espero voltar aos textos - meio chamados de escritorias, à lírica quelque truc comme ça...


viejo haikku, cambiado

terias vertigem
se em toques à tua fronte
pudesse eu perder-me?


...bem talhadinho, sabores suspeitos não sustentariam-no como plena substituição de temas mais remotos... soa romântico, mas, honestly, sem alvo... hm